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BERNARD STRUBER JAZZTET : “LA SYMPHONIE DÉJOUÉE”

10,00 

Enregistré les 22, 23, 24 avril et le 9 juin 2017 au studio Sextan par Alban Sautour assisté par Arthur Gouret. Mixé au Studios La Buissonne par Nicolas Baillard et Gérard de Haro. Masterisé au Studio JRAPH i.n.j par Raphaël Jonin. Produit par Jazzdor. Avec le soutien de MFA (Musique Française d’Aujourd’hui) et de l’Adami. Jazzdor est producteur délégué du Jazztett de Bernard Struber, avec le soutien de la Ville de Strasbourg et du Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Grand Est.Le Jazztett est membre de Grands Formats

Bernard Struber, guitare électrique et direction
Michael Alizon, saxophone ténor
Serge Haessler, cor, bugle et trompette
Raymond Halbeisen, clarinette, flûte et piccolo
Benjamin Moussay, piano
Frédéric Norel, violon
Jean-Charles Richard, saxophones soprano et baryton
Bruno Chevillon, contrebasse
François Merville, batterie

Artistes invitées
Nathalie Gaudefroy, soprano / Svetlana Kochanas, soprano

Description

Le grand retour discographique de Bernard Struber ! Le guitariste, compositeur et organiste retrouve son Jazztett pour une œuvre totalement originale, et s’inspire des grands compositeurs du XXème siècle qui marqué son parcours. “La Symphonie Déjoue“, ou trois mouvements de grande ampleur qui nous plongent dans une évocation de ses maîtres d’écriture : les Ligeti, Berio ou Messiaen, avec toute l’irrévérence et l’ouverture d’esprit d’un Frank Zappa, dont il reste l’un des plus passionnants héritiers ! Avec le génie américain, ils partagent plus que l’humour et une virtuosité singulière, une véritable envie permanente de déjouer les codes. Les trois mouvements de la “Symphonie Déjoué“ se basent chacun sur un élément très simple comme un intervalle de tierce mineure, une pulsation irrégulière ou encore une mélodie traditionnelle.

Un travail d’orfèvre sur les arrangements et des solistes qu’on ne présente plus : la rythmique souple et nerveuse formée par Bruno Chevillon (contrebasse) et François Merville (batterie), des souffleurs flamboyants (Michael Alizon et Jean-Charles Richard aux saxophones, Serge Haessler à la trompette, Raymond Halbeisen aux flûtes), les cordes de Frédéric Norel (violon) et Benjamin Moussay (piano) et deux chanteuses lyriques, Nathalie Gaudefroy et l’ukrainienne Svetlana Kochanas. Dans sa narration et son instrumentarium, “La Symphonie Déjouée“ fait ainsi écho aux travaux du Third Stream de Gunther Schuller et interroge en permanence les rapports du jazz à la musique classique contemporaine, de l’écrit à l’improvisé.

Informations complémentaires

Poids 90 g
Dimensions 12 × 12 × 12 cm

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